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7 Décembre 2024
Au restaurant de l'Elysée , le chef réfléchit au menu. Le restaurant a tenu le coup malgré une fermeture en juin . Le chef voulait refaire les peintures et trouver d'autres cuisiniers. Manque de chance ,il n'a trouvé qu'un ancien "cuisto" trois étoiles. Celui-ci a essayé de faire du nouveau avec de l'ancien en utilisant des recettes ayant déjà servies. Ca n'a pas fonctionné. Les jeunes cuisiniers étaient tous issus de la même école de cuisine, celle qui déteste qu'on ajoute des ingrédients supplémentaires .Au vu des factures à payer ,il aurait fallu plus de piment fiscal. Les plats proposés laissèrent un goût amer et le restaurant ferma une deuxième fois. Aujourd'hui ,le chef ne peut pas s'exposer à une seconde fermeture. Il doit donc trouver très vite de nouveaux cuisiniers .Ils se sont présentés ce matin. L'un est originaire de seine et marne . Il voulait bien travailler à condition que ce soit lui le chef des cuisiniers. A cette condition ,il voulait bien mettre de "l'eau dans son vin". Son grand frère Jean Luc ne serait pas content mais il était prêt à prendre le risque. Macron lui reposa la question du piment fiscal. Il lui répondit qu'il en faudrait un petit peu. Macron fit la moue. Certains de ses clients n'apprécieraient pas. Il lui dit qu'il allait réfléchir .Il voulait prendre les meilleurs à leur poste pour satisfaire l'intérêt général sans trop de piment fiscal. Il savait qu'il pouvait trouver mieux. Notamment ,ce vieux cuisinier de Pau qui se faisait fort de faire passer le goût du piment par une bonne rasade de vin du Béarn. On en était là au restaurant de l'Elysée que certains voulaient renommer "le tord boyaux".
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