François Hollande, qui effectue sa première visite en Russie en tant que chef d’État,
le président français a assuré avoir " progressé" avec Moscou, avec qui il partage les "mêmes objectifs", à savoir éviter la dislocation de la Syrie et éviter de laisser les "terroristes" profiter du chaos actuel.
Dans ce contexte comment interpréter la phrase de Poutine:
"il est impossible d'y voir clair non seulement sans une bouteille de bon vin, mais sans une bouteille de vodka".
si Moscou reste un allié du régime du président Bachar al-Assad, à qui il livre des armes, Paris est à l'origine du mouvement de reconnaissance de la coalition de l'opposition syrienne. En outre, la diplomatie française juge un départ de Bachar al-Assad nécessaire pour parvenir à une solution politique tandis que le Kremlin estime qu'il revient aux Syriens de déterminer leur destin.